Par Franck Deschamps le mercredi 18 février 2015, 19:06 - Lien permanent
Je reviens de D'Istambul . Cette ville où transitaient les épices entre l'Orient et l'Occident m'attirait depuis longtemps. La rencontre avec les commercants d'épices (j'étais particulièrement intéressé par le poivre) a été très intéressante.
Je reviens de D'Istambul . Cette ville où transitaient les épices entre l'Orient et l'Occident m'attirait depuis longtemps.
La rencontre avec les commerçants d'épices (j'étais particulièrement intéressé par le poivre) a été très intéressante.
C'est dans le Grand bazar avec ses 4000 boutiques et le bazar égyptien des épices où j'ai recherché à en savoir plus sur le poivre en Turquie auprès des commerçants.
Pour ce qui est du poivre, il est pratiquement inexistant sur les tables stambouliotes. Il est remplacé par du piment séché et broyé, un peu à l'image du piment d'Espelette.
Il propose unique le poivre par couleur, noir, blanc et vert déshydraté avec en plus les baies roses. Le poivre n'a pas d'origine particulière, il se rapproche au poivre noir en grain basique que l'on retrouve en grande surface.
En résumé, je n'ai pas trouvé un commerçant offrant un belle palette de poivre. Par contre leur moulin à poivre est particulier.
Le moulin à poivre le plus répandu est en métal ouvragé avec une ouverture sur le dessus et un couvercle en dessous.
Pour l'utiliser on tourne la manivelle, puis on retire le couvercle en dessous pour parsemer son assiette du poivre fraichement concassé. Le mécanisme est en métal. Il mesure 5 cm de haut.
Vous pouvez vous le procurer ici
